Avortement : la Belgique n’est pas le Texas, mais il reste du chemin à faire

Le Texas vient de rendre l’avortement presque impossible pour les femmes de son État. Si en Belgique l’avortement est dépénalisé depuis 2018, il reste un processus parfois difficile à entreprendre. Et nombreux sont ceux qui réclament une extension du délai, actuellement de 12 semaines maximum.

Marianne Lebreton
Avortement : la Belgique n’est pas le Texas, mais il reste du chemin à faire
©Shutterstock

Depuis ce mercredi 1er septembre, l’avortement au Texas est devenu un véritable parcours du combattant. Les femmes texanes ne peuvent désormais plus avorter après six semaines de grossesse, même si le fœtus est le fruit d’un viol. Or, six semaines, c’est un délai raisonnable pour se rendre compte qu’on est enceinte mais c’est insuffisant pour aller au bout d’une procédure d’avortement. Pire encore, les citoyens du Texas sont appelés à dénoncer les médecins qui pratiqueraient une interruption volontaire de grossesse (IVG) après ces six semaines.

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