”Il faut qu’on parle” : Covid, trois ans plus tard, y a-t-il vraiment un “monde d’après” ?
Tous les jours de la semaine, Maxime Binet et son équipe reviennent sur l’actualité du moment dans “Il faut qu’on parle” sur LN24. Au programme : des sujets de société, qui font débat.
Publié le 16-03-2023 à 20h59 - Mis à jour le 17-03-2023 à 10h43
Ce jeudi 16 mars, Maxime Binet a abordé avec ses invités le Covid, trois ans plus tard et le racisme dans le monde du football.
Covid, trois ans plus tard : y a-t-il vraiment un “monde d’après” ? Catherine Linard, spécialiste en géographie de la santé (Université de Namur) explique qu’on a plus que des petites vagues de covid grâce à la vaccination. Toto Bongiorno, restaurateur, pousse un coup de gueule sur le plateau. “On a détricoté la santé pendant des années. Et au Covid, les mêmes gens qui ont détricoté, viennent nous dire qu’il faut tout fermer parce qu’on n’est pas prêts, parce qu’on ne sait pas. C’est le pompier qui a mis le feu ! On m’a empêché de gagner ma vie 'Parce qu’on ne sait pas' ! “, avant de poursuivre, “Quand on est ruiné à 25 ans, on refait sa vie… Mais quand on est ruiné à 60 ans, c’est la fin”. Colin Sanders, chercheur chez Indiville déclare que la confiance envers les politiciens n’a jamais été aussi basse.
Le deuxième sujet abordé lors de l’émission était de savoir si le football était un sport raciste ou pas ? Toto Bongiorno, raconte que durant sa jeunesse, il était allé voir un match d’Anderlecht face à une équipe italienne. Il raconte avoir entendu des supporters belges scander “Sales macaronis, sales spaghettis”. D’origine italienne, le restaurateur s’est dit très attristé après avoir entendu ces mots.
Retrouvez l’intégralité de l’émission Il faut qu’on parle de ce jeudi 16 mars dans la vidéo ci-dessus.