"Il faut qu’on parle": drame au Standard, coût de la monarchie et Vivaldi en péril
Tous les jours de la semaine, Maxime Binet et son équipe reviennent sur l’actualité du moment dans “Il faut qu’on parle” sur LN24. Au programme : trois sujets de société, qui font débat.
Publié le 25-05-2023 à 21h53
Ce jeudi 25 mai, Maxime Binet a abordé avec ses invités le changement d’entraîneur au Standard et à Bruges, coût de la monarchie et le dérapage d’Alexander De Croo.
Mathieu Ladevèze, rédacteur en chef adjoint à La DH/Les Sports, chef des pages Bruxelles, défend que passer d’un club à l’autre est la liberté de Ronny Deila. “C’est normal”, dit-il. “Liège n’avait qu’à se montrer capable de le retenir !” Maxime Jacques, journaliste et spécialiste football et cyclisme à La DH/Les Sports, indique que pour Deila, Liège n’était qu’un passage. “Il n’a pas la fibre liégeoise, c’était juste un job vers un objectif supérieur, la division 1”. Dany Spreutels, avocat, affirme que le foot est un business avec des chiffres mirobolants. “L’amour du club, c’est quelque chose qui n’existe plus. Face à un contrat juteux, le club est vite oublié !”
Francis Delpérée, ancien sénateur (CDH) et professeur émérite (Université de Louvain), indique que l’argent donné à la monarchie va aux employés, aux bâtiments… “Mais ça ne va pas dans la poche du Roi !”, dit-il. Il affirme que ceux qui veulent supprimer la monarchie sont simplement ceux qui veulent tuer la Belgique.
Pour Dany Spreutels, Alexander De Croo est déjà en campagne.