”Il faut qu’on parle”: “On ne prend pas la nationalité comme on prend une carte de riverain”
Du lundi au vendredi, Julien Bal et son équipe reviennent sur l’actualité du moment dans “Il faut qu’on parle” sur LN24. Au programme : des sujets de société, qui font débat.
- Publié le 13-09-2023 à 19h49
- Mis à jour le 19-09-2023 à 15h12
Ce mercredi 13 septembre, Julien Bal recevait sur son plateau Julie Foulon, community leader et fondatrice de “GIRLEEK”, Michel Kacenelenbogen, directeur du théâtre “Le Public”, Mike Willemaers, Communiquant en entreprise et Vincent Schmidt, journaliste “conso” à la Dernière Heure/Les Sports. Au programme, les écoles brûlées dans la région de Charleroi, mais aussi l’examen de nationalité en Belgique.
Concernant l’affaire des écoles brûlées, Willemaers pose la question. “Qui a demandé ce projet Evras (Education sexuelle à l’école, ndlr) ?”. Avant de poursuivre. “Par exemple, qui a aussi demandé de changer les fêtes de Noël en congé d’hiver ? Les politiques prennent des décisions sur des revendications qu’on n’entend pas dans la bouche du citoyen”.
Au sujet de l’examen de nationalité, Julie Foulon affirme qu'”on ne prend pas la nationalité comme on prend une carte de riverain”.
L’émission est à redécouvrir en intégralité dans la vidéo en épinglé de l’article.