Chez certains d’entre nous, la fin du port du masque actée dans plusieurs lieux ne s’est pas arrêtée ce lundi 7 mars. Entre la crainte d’être contaminé, l’habitude devenue mécanique ou facilitatrice de contacts, de nombreux Belges préfèrent attendre encore un peu avant de se passer définitivement de leur bout de tissu. Pour comprendre ce mécanisme psychologique, il faut "revenir deux ans en arrière", souligne le Dr Caroline Depuydt, médecin chef de service à l’hôpital psychiatrique Epsylon.
Ce n’est plus obligatoire, mais de nombreux Belges ont peur d’abandonner le masque : "Certains préfèrent prendre leur temps, et on peut le comprendre”
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