La Belgique a une économie électrointensive. Le pays a l’habitude de fonctionner avec une abondance d’énergie", constate Stéphane Bocqué, porte-parole de la Febeg, la Fédération belge des entreprises électriques et gazières. Tout le débat sur la sortie du nucléaire tourne autour de cette idée : comment permettre au Royaume de continuer à fonctionner dans ces conditions. "Il faut assurer la sécurité d’approvisionnement, poursuit Bocqué. Il faut être sûr que l’on aura suffisamment d’électricité à tout moment pour rencontrer la demande des ménages, de l’industrie, du secteur tertiaire, du secteur des transports et de la mobilité."
"Garder du nucléaire ne permettra pas de faire baisser la facture mais ça empêchera qu’elle grandisse"
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