Celui-ci refuse de parler de "génération sacrifiée" : "C'est catastrophique d'utiliser ce mot-là. Les difficultés, les traumatismes ne créent pas le sacrifice d'une génération. Vous pouvez avoir vécu la guerre, vous n'allez pas repérer des personnes moins intelligentes car elles ont eu 20 ans entre 1940 et 1945."
Bruno Humbeek appelle à inviter les jeunes autour de la table. Il faut concerter, et non plus seulement consulter, les jeunes. "Ils ont réellement besoin d'être partenaires qui jouent la partie d'échec avec nous. Ce qui est important maintenant, ce n'est pas de parler des jeunes (…) Donnons la parole aux jeunes pour les mettre autour des tables de négociation comme des partenaires fiables."