Avec Omicron, les signaux positifs sont nombreux. Le premier concerne la situation dans les unités de soins intensifs où la pression est beaucoup moins forte. Avec 367 lits occupés, on reste en effet sur une baisse de 10% des patients en une semaine. “Au niveau des hospitalisations, le pourcentage de patients qui est transféré vers les soins intensifs a fortement diminué, souligne le virologue Steven Van Gucht. Il est de l’ordre de 1 sur 10 actuellement contre 1 sur 4 lors de la troisième vague en avril dernier par exemple, il y a donc une grande différence malgré le nombre élevé d’admissions classiques à l’hôpital”.
La souche "BA.2", cousine d'Omicron, pourrait-elle donner une autre tournure à la cinquième vague en Belgique ?

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