La reprise des cours en présentiel le 16 novembre pose-t-elle potentiellement problème en termes épidémiologiques ?
"Forcément, la reprise des cours après cette interruption représente un petit risque supplémentaire, car on va remettre ensemble des personnes qui ne se sont théoriquement pas vues pendant deux semaines. Mais on retire tout de même les profils les plus contaminateurs, les ‘drivers’ les plus importants seront moins présents (NdlR : dès la 3e secondaire, la rentrée se fait en moitié présentiel, moitié à distance). Il s’agit d’un petit risque, certainement pas nul, mais d’un risque assumé. Et puis, cette rentrée scolaire est positive pour le bien-être des enfants, qu’on ne peut pas non plus laisser indéfiniment dans les pattes des parents."
En termes épidémiologiques, ne serait-il pas mieux de différer cette rentrée ?