Et votre tournée minérale: stop ou encore?
Un édito de Jean-Marc Ghéraille
/s3.amazonaws.com/arc-authors/ipmgroup/d1f3cd22-e02b-4eb2-a930-2c63dc6e6aeb.png)
Publié le 21-02-2023 à 08h02
:focal(368.5x254:378.5x244)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/F5CDIWRJPRAUBH6KTG4YCVTHAY.jpg)
Bon, il ne reste plus qu'une semaine en ce mois de février. C’est le moment d’effectuer un petit sondage autour de vous concernant celles et deux qui ont promis, craché, juré qu’ils et elles participaient à la tournée minérale.
Même si tout est une question de volonté, nous connaissons peu de personnes qui poursuivent leur promesse de sevrage total de la moindre goutte d’alcool. Nous tenons à les féliciter. Ils et elles méritent une médaille même si le 28 février, c’est mardi prochain. Accrochez-vous.
Outre ceux qui n’ont même pas essayé et ceux qui ont abandonné à la première chope offerte ; il y a celles et ceux qui ont craqué. Une fois ou deux. L’appellation contrôlée de cette entorse s’appelle pudiquement un joker. Parce qu'au décompte, les tentations sont plus régulières qu’on ne le pense. Notamment lors des weekends où l’heure est davantage à la détente, aux amis et aux restaurants.
Au-delà de la réussite personnelle (ou non) de la tournée minérale, l’objectif numéro 1 est globalement atteint : effectuer un scanner de sa consommation et son rapport, parfois un brin laxiste, à un verre de vin, de whisky ou de Duvel. Si vous éprouvez les pires difficultés à dire non, cela aura eu le mérite de pointer votre relation à ce qui est et reste un poison. Du moins quand il est consommé en (très) grande quantité.