Le Montois Giuseppe B., 50 ans, a de l’or dans les doigts. Comme électricien, c’est un "artiste".
Sauf que le surdoué est parti en vrille. Rupture conjugale, perte de contact avec sa fille, perte de son travail d’indépendant, revenu CPAS, saisie de 25 000 € pour s’acquitter de la pension alimentaire, dépression… L’électricien tombe dans l’enfer de la cocaïne. Un enfer onéreux qu’il va financer en revenant à ce qu’il fait de mieux mais dans l’illégalité absolue.