Les adolescents ont ensuite passé la nuit au poste de police avant de comparaître devant le juge de la jeunesse le dimanche matin. Les parents ont jugé cette attitude disproportionnée par rapport aux faits. Selon le parquet, "les jeunes ont été entendus dans deux locaux différents, où ils ont eu l'occasion de boire et de manger. Aucun d'entre eux n'a passé la nuit en cellule, mais au poste de police". Les jeunes ont été entendus en présence d'un avocat et ont été présentés dimanche matin à un juge de la jeunesse.
"En attendant leur audition, ils ont dû patienter dans une cellule de transition pour mineurs d'âge", indique le parquet.
"En attendant leur audition, ils ont dû patienter dans une cellule de transition pour mineurs d'âge", indique le parquet.
"Nous comprenons que l'impact peut être important sur les jeunes impliqués et sur leurs parents", a réagi le parquet. "C'est une raison supplémentaire pour ne pas prendre les mesures de précaution sanitaire", s'est justifié le parquet.