"Vous n’avez plus mon soutien ni mon consentement. Plus personne ne peut agir en mon nom." Au moins quatre bourgmestres flamands ont reçu des courriers portant ce message en protestation contre les mesures sanitaires, ont révélé nos confrères du Morgen au début du mois de décembre. Ces lettres de quatre pages rédigées en jargon qui se veut juridique expliquent pourquoi l’expéditeur estime que ses droits sont gravement menacés par les mesures corona. Les expéditeurs s’autorisent dès lors, de leurs propres dires, à couper le cordon avec toute forme d’autorité, ce qui constitue un non-sens sur le plan légal.
Les Citoyens souverains: le mouvement qui inquiète la Sûreté de l’État

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