Une étudiante alerte sur les groupes privés du style "Pêche à l’abricot", "Abricot mûre", qui pullulent depuis le confinement.
J’en ai repéré trois. Il y en a certainement d’autres. Le problème est que ces groupes changent constamment de noms. Vous êtes étudiante : apprendre que des photos circulent à votre insu est en soi déjà déplaisant. S’il s’agit en plus de photos intimes ! Cela ne peut pas continuer, il faut intervenir."
Lola passe beaucoup de temps sur les réseaux sociaux. L’étudiante de 18 ans a souhaité nous contacter "un peu par désespoir", dit-elle, avec le sentiment d’alerter sur un péril qui prend tout particulièrement de l’ampleur depuis le confinement et que ni Facebook ni la police ne semblent vouloir prendre en compte pour l’instant.
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