Il y a un an, Gosselies culbutait dans l’effroi. Patrick Nakars, 47 ans était retrouvé mort dans une ruelle tout près de chez lui. Une première balle, tirée à bout portant, avait traversé son cœur, une deuxième sa tête.
À l’époque, le parquet de Charleroi n’écartait aucune thèse. Aujourd’hui, il nous indique que l’enquête est toujours en cours, mais que la thèse du suicide est "plausible". Il n’y a, en tout cas, aucun suspect à ce stade.
La retenue d’un tel scénario interpelle les proches du défunt tant ils ont toujours considéré qu’en cas de suicide, le premier coup, au cœur, aurait dû alors être instantanément létal...