A l’université, des étudiants précaires se privent de repas : “Le matin, c’est un biscuit, maximum…”

Marie (prénom d’emprunt) est étudiante à Bruxelles à l’ULB et comme beaucoup d’autres, elle peine à subvenir à ses besoins alimentaires à chaque fin de mois.

Charlotte Leleux
A l’université, des étudiants précaires se privent de repas : “Le matin, c’est un biscuit, maximum…”
A l’université, des étudiants précaires se privent de repas : “Le matin, c’est un biscuit, maximum…” ©Copyright (c) 2017 Cast Of Thousands/Shutterstock. No use without permission.

Pour une étudiante, le budget des courses sur le mois peut monter jusqu'à 300 € comprenant nourriture, boissons, hygiène, ou autres. Mais dans le cas de Marie, ce budget est un peu plus limité surtout pour les fins de mois. "Cela m'est déjà arrivé de louper un repas sur la journée par manque de nourriture dû à mon manque d'argent, surtout le soir. De plus, j'ai pris l'habitude de ne plus correctement déjeuner le matin, je me contente d'un biscuit", nous confie-t-elle.

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