À Bruxelles, le chômage fait le grand écart : quelle commune s’en sort le mieux, quelle commune a le pire taux de la région ?

À quelques kilomètres de distance, des différences conséquentes dans la capitale.

Légère hausse du chômage à Bruxelles, due à l'impact de la guerre en Ukraine
Le taux de chômage en région bruxelloise est repassé au-dessus des 15 %. ©BELGA

Alors que le taux de chômage bruxellois dépassait la barre des 20 % au début des années 2010, il est redescendu aux environs de 15 % ces dernières années. Avec, comme partout, de grandes disparités locales. Phénomène normal, selon Bernard Clerfayt (Défi), pour qui la question du chômage “dépasse le cadre des communes”. “Il n’y a pas non plus, entre les communes, d’égalité des revenus, du niveau de diplôme…”, commente le ministre bruxellois de l’Emploi. Parmi les outils de la Région pour activer ses demandeurs : des primes (comme Activa, qui réduit les charges salariales à l’embauche de jeunes et seniors) et un soutien aux formations. Car, c’est un des paradoxes de Bruxelles, pointe Clerfayt : un faible niveau de diplôme de la population, mais des emplois nécessitant de hautes qualifications.

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