Elle avait l’alcool des fêtards, l’alcool des gueules de bois du lendemain. Et un jour, ce fut trop. Un témoignage que l’on lit en miroir.
Faites-vous partie des adeptes du Dry January, ce mouvement lancé par une organisation anglaise et qui a convaincu des millions de personnes à arrêter de boire de l’alcool pendant un mois ? Ou vous lui préférez la Tournée minérale de février, le défi de la Ligue belge contre le cancer ? La vérité, c’est qu’il n’y a pas de "meilleur" moment pour arrêter. Stéphanie Braquehais, qui fut journaliste pour RFI, et qui est désormais écrivaine et traductrice, Française installée à Nairobi, le dit en fil rouge des pages de son témoignage : prendre la décision d’arrêter de boire, cela implique un gros travail sur soi qui demande bien plus que la volonté d’un matin où l’on prend la décision.
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