“ Si on ne peut rouvrir que début février, je peux mettre la clé sous la porte, réagit-elle. Sur une année complète, je n’aurai pu bosser que cinq mois, sans compter que j’ai eu moins de clientèle que d’habitude…”
C’est donc une très mauvaise nouvelle pour elle, comme pour le reste du secteur qui espérait pouvoir combler une partie des pertes durant les fêtes de fin d’année.