Pas de révolution esthétique en vue pour la Classe C, qui adopte à son tour les codes esthétiques des dernières Classe E et Classe S. L’avant s’inscrit donc dans la lignée de sa devancière, tandis qu’à l’arrière les feux en deux parties débordent désormais sur la malle. Quant au break, il est en filiation directe avec le précédent modèle.

L’habitabilité est en hausse, notamment pour les passagers arrière qui disposent désormais de 3 centimètres supplémentaires au niveau des genoux. Le coffre affiche quant à lui une contenance supplémentaire de 30 litres sur le break, portant l’espace utile à 490 litres.

Hybride pour tous
Pas de motorisation électrique dans l’immédiat pour la Classe C, mais néanmoins une hybridation complète de son offre. Tous les moteurs sont des quatre cylindres équipés d’une installation électrique 48V et d’un alterno-démarreur renforcé qui assiste le moteur essence ou diesel à faible vitesse. Il permet aussi d’apporter un boost de 15 kW durant quelques instants en cas de forte accélération. En essence, la gamme se compose de moteurs 1.5 de 170 (C 180) et 204 chevaux (C200), et 2 litres 258ch (C 300). En diesel, le 2.0 est décliné en versions 163 (C 200d), 200 (C 220d) ou 265 chevaux (C 300d). Tous sont associés d’office à la boîte automatique à 9 rapports 9G-Tronic et la transmission intégrale est proposée sur certaines configurations. Une motorisation hybride rechargeable (C300e) 313ch promettant une autonomie électrique de 100 km viendra gonfler les rangs un peu plus tard.
