Les chèques-repas, un avantage salarial non négligeable pour beaucoup de travailleurs, et désormais une bouée de sauvetage pour d’autres. Avant la crise, certains l’utilisaient comme un bonus à dépenser dans les restaurants que ce soit dans le cadre d’un repas d’affaires ou privé. D’autres l’utilisaient même comme une cagnotte le plus longtemps possible, puisqu’une somme versée sur une carte électronique (ou écrite sur un chèque papier) n’est valable qu’un an.
Avec la fermeture de l’Horeca ces derniers mois, on pourrait penser que de l’argent dort sur les cartes des 2,1 millions de travailleurs qui en profitent. Mais dans la grande majorité des cas, il n’en est rien.