Si de nombreux secteurs ont été impactés par la crise du coronavirus, c’est loin d’être le cas pour l’immobilier. Alors que la fin du Woon Bonus (incitant fiscale en Flandre) avait dopé le marché fin 2019, entraînant logiquement un ralentissement début 2020 encore accentué par le début de la pandémie et le premier confinement avant une reprise fulgurante lors du second semestre.
Cette année, c’est un phénomène inverse qui se traduit au travers des chiffres du baromètre des notaires analysant l’ensemble des transactions de l’année. Le second semestre a été marqué par un recul des ventes immobilières, soit une baisse (-11,3 %) du nombre de transactions par rapport au premier semestre.
Mais sur l’ensemble de l’année, le marché a une fois de plus montré son dynamisme et confirme, tout comme en 2008, qu’en période de crise, le marché immobilier reste une valeur refuge.