Tout comme l’ensemble des activités économiques, le marché immobilier a été impacté par la crise du coronavirus. Si le début de l’année démarrait en fanfare, hormis en Flandre où la disparition du woonbonus avait précipité les transactions fin 2019 avant un recul attendu en début d’année, l’arrivée de la crise du coronavirus en mars et la période de strict confinement qui s’en est suivie a logiquement marqué un arrêt brutal de l’activité durant deux mois. Au final, c’est un recul du nombre de transactions de 2,7 % qui a marqué l’année dans son ensemble.
“Le premier trimestre s’est tout d’abord avéré très soutenu, en particulier sur le marché bruxellois. Si on excepte la Flandre qui subissait le contrecoup de l’euphorie woonbonus de la fin 2019, le marché 2020 filait droit dans la même veine que 2019. La pandémie a ensuite logiquement sonné le glas de cet enthousiasme pendant, en tout cas, les deux mois de confinement quasi complet”, analyse le porte-parole de notaire.be.