Pourquoi la méfiance vis-à-vis de la viande n’a pas encore touché la charcuterie

On en mange encore 28 kg par an et par habitant ! Et le secteur de la charcuterie entend bien garder son capital sympathie en mettant en avant la qualité, le goût de l’artisanal ou encore en développant des recettes plus saines pour les lunches.

La charcuterie apéritive tire son épingle du jeu, alors que celle des lunchs doit se réinventer.
La charcuterie apéritive tire son épingle du jeu, alors que celle des lunchs doit se réinventer. ©Copyright (c) 2015 Timolina/Shutterstock. No use without permission.

Il y a quelques semaines, une étude du SPF Economie mettait en avant que les Belges ne délaissent pas la viande au quotidien : en Wallonie, 88 % de la population en mange et en Flandre, ce score monte à 91 %. Pourtant, une tendance est constante depuis près d’une décennie : on consomme moins de viande. Plus d’un Belge sur dix ne mange plus du tout de viande et trois Belges sur dix sont devenus flexitariens, selon l’association belge de recherche et d’expertise pour les organisations de consommateurs (AB-REOC). Et le SPF précise que 14 à 27 % d’entre eux envisagent de réduire leur consommation de viande à l’avenir, principalement en raison de l’aspect sanitaire.

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