"Ces gens qui sont en extrême détresse, coincés dans une cage de graisse en termes de poids et de mobilité, on les regarde sans aucune sympathie. On se dit directement que c’est de leur faute, qu’ils n’ont pas de volonté. C’est faux”
Obésité : “On ne sort pas seul d'une spirale infernale qui nous fait atteindre 150 ou 200 kilos”
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