La presse britannique est sommée d'arrêter de répandre les rumeurs d'adultère lancées par le magazine américain In Touch, qui éclaboussent la sérénité du couple du duc de Cambridge.
La lettre en question stipule que "la publication de fausses spéculations sur la vie privée de nos clients constitue une violation de la vie privée au sens de l'article 8 de la Convention européenne des Droits de l'Homme." Un avertissement assez rare dans le chef de la famille royale britannique, qui respecte habituellement le vieil adage "ne te plains et ne t'explique jamais".
Selon le magazine à la base du scandale, William aurait commis l'adultère alors que sa femme était enceinte de leur troisième enfant, Louis. Pour l'heure, les allégations ne se basent que sur les dires du tabloïd In Touch.