Coup de grâce, un psychologue qui a témoigné à la barre a indiqué que selon lui, le stress post-traumatique de l'actrice était faux. Il affirme en outre qu'elle est bordeline et qu'elle souffre d'un trouble de la personnalité histrionique, caractérisé par un besoin d'attirer l'attention sur sa personne.
Un élément de plus pour remettre ses accusations en doute? L'actrice serait en tout cas très insatisfaite du nombre d'articles négatifs publiés à son sujet depuis le début des audiences. D'après le New York Post, elle aurait décidé de virer son équipe de communication, alors qu'elle est censée témoigner cette semaine.
Selon le journal, cette équipe était chargée de veiller à ce que son image ne soit pas dégradée auprès de l'opinion publique. Mais c'est plutôt l'effet inverse qui s'est produit: la cote de popularité de Johnny Depp est même montée en flèches depuis quelques jours.
"C'est complètement insensé de changer d'équipe de com' en plein milieu d'un procès parce que vous n'aimez pas les gros titres", s'étonne Lis Smith, experte en gestion de crise, toujours dans le NY Post. "Precision Stategies, avec qui elle collaborait, est l'une des meilleures agences au monde. Mais ils ne peuvent pas réécrire l'histoire sur ce qu'il s'est réellement passé. Ce n'est pas possible de changer l'opinion des gens en trois semaines, en plein procès."