Guillaume Canet mort de trouille avant la sortie du film événement : “Je trouvais drôle qu’Angèle fasse une crise de jalousie à Obélix”

À quelques jours de la sortie d'Astérix et Obélix, l'Empire du Milieu, le 1er février, il se dit “mort de trouille”. “Notre grande qualité, c’est notre inconscience. Je suis Bélier, donc je fonce, puis je réfléchis après.”

La moustache et le casque ailé ont disparu, mais pas le stress. Que le ciel lui tombe sur la tête, voilà la crainte de Guillaume Canet, à quelques jours de la sortie de sa huitième réalisation, Astérix et Obélix, l’Empire du Milieu. Les sesterces ont largement remplacé la soupe à l’oignon dans le chaudron (65 millions d’euros), tout le cinéma français attend un défilé triomphal après une année 2022 décevante, et le banquet final se doit d’être gargantuesque, dans la lignée d’Astérix et Obélix contre César (8,9 millions d’entrées), Mission Cléopâtre (14,5 millions), Aux Jeux Olympiques (6,8 millions) et Au service de Sa Majesté (3,8 millions). “Je suis mort de trouille”, confie d’ailleurs lors de son passage à Bruxelles le cinéaste qui fêtera ses 50 ans le 10 avril, par ailleurs interprète du petit Gaulois rusé aux côtés de son ami déguisé en Obélix, Gilles Lellouche.

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