Chapeau d’aventurier, veste de cuir, lunettes de soleil et pull moulant sur le point de craquer sous la pression des muscles pectoraux, confortablement installé dans une suite d’un palace ostendais, Matthias Schoenaerts ressemble plus à Indiana Jones qu’au trafiquant de banlieue qu’il campe dans Frères ennemis, un polar attendu en salle le 3 octobre. Mais des apparences, il s’en fiche complètement. "Les journalistes me comparent souvent à Marlon Brando. Alors, bien sûr, cela me fait plaisir, mais qu’est-ce que vous voulez que je fasse avec ça ? Cela ne me sert à rien. Ou juste à me faire sourire. Et c’est important, de sourire."
Matthias Schoenaerts: "La comparaison avec Marlon Brando me fait sourire"
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