On ne se rend pas toujours compte, en Belgique, de la chance qu’on a de pouvoir compter dans nos rangs une star comme Virginie Efira. Alors qu’elle tourne sans doute le film le plus important de sa carrière, Benedetta, de Paul Verhoeven, sur une nonne lesbienne au XVIIe siècle, elle a quitté les plateaux du sud de la France le temps d’un week-end pour présenter à Namur un autre film qui lui tient à cœur, Un amour impossible de Catherine Corsini. Sans poser la moindre condition. Pas le plus petit garde du corps à l’horizon. Naturelle, décontractée, souriante, elle pose pour des selfies, répond aux questions sans langue de bois. Le tout avec une délicieuse pointe d’autodérision.
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