La résurrection des disquaires: "Je ne crois pas aux miracles"

À Bruxelles, Caroline Music, enseigne historique de la capitale, a récemment agrandi son magasin. Parce que le retour des vinyles demande plus de place, mais pas que. Rencontre avec le patron de l’enseigne : André Tart.

Il fut un temps où le boulevard Lemonnier, à Bruxelles, était le paradis des fans de musiques et des collectionneurs de disques. Dans les années 90, on ne comptait pas les disquaires établis sur cette artère de la capitale et ceux installés aux abords : Juke-Box, Discomania, Métrophone etc. Avec l’arrivée d’Internet, du MP3 et des connexions ADSL et la crise que cela a provoqué dans l’industrie musicale, nombre d’entre eux ont progressivement mis la clé sous le paillasson. Sans exagérer, la profession paraissait sans avenir, destinée à disparaître comme ont disparu les enseignes louant cassettes VHS puis DVD.

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