C’est lors d’une visite au Musée d’Orsay à Paris qu’Abd Al Malik s’attarde sur le tableau Le Jeune Noir à l’épée de Pierre Puvis de Chavannes. Une peinture dans laquelle il se reconnaît, ce qui le bouleverse. "Je me suis dit que je voulais raconter l’histoire de ce jeune homme aujourd’hui et maintenant. Si lui c’était moi, et moi c’est lui." Cette histoire, il la raconte sous forme de long poème dans un ouvrage mais aussi dans un spectacle qui rassemble danse, slam, rap, littérature. Une interdisciplinarité comme une métaphore du dialogue, si important à ses yeux. "Le but est d’actualiser l’idée démocratique, l’idée de parler de tous et à tous." Entretien.
Quels messages voulez-vous faire passer à travers ce spectacle ?
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