GlinkA entend créer un lien dans le domaine du spectacle vivant… mort depuis un an en raison de la pandémie. Le "G" étant la première lettre de "Gig", signifiant spectacle, le terme "Link" se référant au mot anglais "lien". Quant au "A", il représente les arts.
"La différence avec les live streamings classiques est l’interaction qu’il y aura entre le public et l’artiste, nous certifie Nicolas Closjans, fondateur de GlinkA. Le principe est que l’artiste aura des écrans devant ou autour de lui, en fonction du lieu du concert qu’il aura choisi (ce ne sera donc jamais au même endroit, NdlR), sur lesquels il verra les gens chez eux. Et il y aura des moments prévus pour que les spectateurs puissent lui poser des questions et qu’il y réponde. " Batteur du groupe de rock Bac One-Eleven, notre interlocuteur en est convaincu, interaction il y aura. "Par le fait que l’artiste voit les gens bouger chez eux, s’agiter, danser, elle va se faire, même si elle est virtuelle. Et cela même si la personne ne parle pas, parce qu’on ne va pas laisser les micros ouverts tout le temps sinon ce sera le capharnaüm. "
Des tables de discussions virtuelles