La découverte remonte à l’automne dernier. Et l’interview à la mi-décembre. Il a fallu un long cheminement pour qu’elle atterrisse dans ces pages. Non pas parce que Feu.E, l’album de Bertier ne le mérite, bien au contraire, mais parce qu’avec ce disque rien ne s’inscrit dans la normalité. Et c’est tant mieux.
Sans expliquer ce qui a conduit à reporter la parution de cet article – les aléas du temps disponible -, voici un véritable ovni musical. Made in Belgium, s’il vous plaît. Un de ces disques inclassables que l’on se surprend à chérir comme un petit trésor auquel on revient inlassablement. Parce qu’il fourmille de détails qui se révèlent au gré des écoutes.
Un raconteur d'histoires