Rendez-vous à l’Hôtel Trianon Palace en bordure du château de Versailles. Les cuisines abritent ici le chef étoilé Gordon Ramsay. Marie-Antoinette et son refuge discret nous font de l’œil de l’autre côté de l’impressionnant portail en fer forgé. Quelques joggeurs le franchissent pour aller s’époumoner dans le parc royal. Michel Polnareff s’est posé ici avant de repartir avec sa femme Danyellah et son fils Luka pour se ressourcer chez lui aux States, à Los Angeles. Avant les dernières dates d’une tournée qui a déjà rassemblé plus de 350.000 spectateurs, l’Amiral a sélectionné deux médias de presse écrite pour un long entretien : Nice Matin et La Dernière Heure-Les Sports.
Pas de chichis, pas de round d’observation ni d’apprivoisement, le tutoiement est d’emblée de mise. L’humour s’invite dès les premiers échanges. Polnareff aurait pu naître belge tant il manie et apprécie le second degré. Au bar cosy, Michel commande une Leffe, ce sera finalement une Affligem. Le vin blanc frais fera notre bonheur."J’adore la Belgique et les Belges", lance-t-il. Pas question ici de slogan publicitaire ou de frotte-manches avec la presse. L’histoire d’amour avec notre pays n’est pas neuve.
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