"Je suis fou de Bourvil depuis tout petit", confie Vincent Taloche qui voulait garder ce spectacle - déjà trois standing ovations - privé au départ. "J’ai toujours dit que je faisais ce métier grâce à lui, après l’avoir vu à la télévision. D’où le nom de ma société de production Corniaud (en référence à l’un de ses films, réalisé par Gérard Oury, NdlR) et puis je connais les fils de Bourvil. En 2001, avec l’ancien producteur de Bon Week-end, j’avais fait un documentaire pour Arte et la RTBF sur Bourvil. Car nous sommes deux passionnés de Bourvil et ça m’avait permis d’aller au bout de ma passion et de rencontrer encore plein de gens vivant à l’époque, comme le cinéaste Gérard Oury."
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