Une situation qu'il n'évoquerait pas avec les principaux concernés: "Je n'en parle pas. J'arrive, je mets les pieds sous la table. Je fais le con et je me tire tout de suite après."
Exaspéré par l'époque, il poursuit: "On est censuré par la bien-pensance. C'est la moraline. Il y a de l'auto-censure. Je raconte une blague et quand Ruquier me dit celle-là, on va la couper. Bon, ben, comme je dis, on n'est pas à France Inter ici, merde". Avant d'ajouter, dépité: "Et les autres qui disent : 'Oh oui, il faut le couper.' Ceux qui prétendent faire rire..." Interrogé sur sa réaction face à eux, il n'a fait qu'un geste: un doigt d'honneur.
Tout est dit.