Les pendus placés sur la façade de deux cafés de Nivelles, bien que controversés, ont permis d’attirer cette semaine l’attention sur le désarroi des patrons de cafés, qui ne sont plus autorisés à travailler et ne savent plus comment s’en sortir financièrement. Mais d’autres secteurs sont en détresse, comme les coiffeurs.
Jeudi soir, à la rue de l’Evêché, Axelle Vanderlinden, la patronne du salon Axelle & Lui, a lancé une autre action choc. Elle s’est mise en scène avec de ses deux employées, dans la vitrine avec un néon rouge, pour attirer le client.
Pas question, évidemment, de fustiger les prostituées: le but est de faire passer un message de détresse et d’incompréhension face à l’interdiction de réouverture pour les coiffeurs alors que d’autres commerçants peuvent à nouveau travailler.