Depuis des semaines, les coiffeuses et coiffeurs demandent à pouvoir à nouveau accueillir les clients mais comme d’autres métiers de contact, ils n’ont pas obtenu d’assouplissements jusqu’à présent. Le secteur de l’esthétique est dans la même galère mais avec la crainte supplémentaire de ne pas retrouver les clients une fois les portes à nouveau ouverte.
Françoise Norroy, bien connue à Nivelles et gérante depuis plus de vingt ans d’un institut de beauté où elle forme également des stagiaires, a poussé un cri d’alarme ce week-end. Non seulement la situation financière et le moral du secteur en prend un coup, mais de sérieuses incertitudes pèsent sur la relance.