Parmi les situations pouvant amener un sentiment d’insécurité, Margaux Nothomb a également pointé mercredi soir la présence de plus en plus fréquente de personnes qui mendient en ville. Si ces gens viennent à Nivelles, c’est parce que les habitants se montrent généreux, et qu’il n’y a pas de dispositions sur le plan local pour interdire la mendicité, a estimé la conseillère. En se demandant s’il n’y a pas des choses à faire, notamment en termes de sensibilisation de la population. La réponse du chef de zone s’est voulue nuancée. D’abord, la police ne peut intervenir que s’il y a infraction, par exemple si les personnes concernées insultent les passants ou se montrent agressives. Lorsqu’il s’agit de Nivellois, souvent bien connus, la réponse la plus adéquate est sans doute une prise en charge sociale, et des collaborations existent avec l’équipe du plan de cohésion et de prévention.
Mendicité à Nivelles : la tolérance zéro, ça ne fonctionne pas
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