A Laeken, Esseghem, Beekkant et Cureghem, le discours est identique :
"Le tutoiement, les humiliations, on a l'habitude. Le pire, ce sont les agents qui viennent de Flandre, expliquent-ils en imitant leur accent.
Ils viennent chez nous mais ils ne nous connaissent pas. On dirait que certains ont la haine de devoir parler français alors qu'on est à Bruxelles. Quand on a un ami qui parle néerlandais, automatiquement ils deviennent tout gentils, ce sont plus les mêmes." Reportage
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