Tout comme à Piccadilly Circus, le Bruxelles de jadis s’illuminait le soir aux couleurs des diverses publicités lumineuses installées sur les façades et toits des grandes surfaces commerciales. Parfois même, les néons colorés masquaient une partie d’hôtels de maître ou les étages des magasins, dans une rivalité de démesure pour l’enseigne la plus grande, la plus lumineuse et la plus haute en couleur.
Jadis, la publicité se trouvait partout sur la voie publique. Peinte sur les pignons des maisons, sur les toits des véhicules de transports en commun, dans les trains, en bannière derrière un petit avion en survolant les plages de notre littoral.