Un voisin lui vole des sous-vêtements et est retrouvé avec un sabre dans son jardin. Elle vient d’y faire placer un mur.
Il est des conflits de voisinage qui sortent du cadre de la norme tant ils relèvent de la psychiatrie.
Cinq mois après que son fils a été menacé avec un sabre katana, Soria (prénom d’emprunt) est toujours aux abois. De sorte qu’elle vient de faire placer un mur de plus de deux mètres à l’arrière de son jardin. " Une psychologue de l’aide aux victimes me l’avait conseillé. J’ai fait une demande à la société de logement où je suis locataire. Cela a pris du temps mais, maintenant, ce mur est placé. C’est une bonne chose mais je ne suis encore pleinement rassurée."