"Des devoirs d'enquête sont toujours en cours. Il est important que la justice puisse établir sereinement les circonstances de ce drame et les causes précises de cette catastrophe", a souligné la ministre régionale.
Néanmoins, si les causes exactes de la tragédie ne sont pas encore déterminées, "les réseaux sociaux des occupants de la voiture semblent montrer sans équivoque qu'ils ont des comportements extrêmement graves et déviants en matière de vitesse et de sécurité routière".
"Un travail contre les pirates de la route a déjà été effectué par le Fédéral. Un travail de prévention, de sensibilisation et d'éducation est également entrepris en région, mais il faut aller plus loin en renforçant et en coordonnant nos efforts", poursuit Valérie De Bue.
"Si la folie est difficilement gérable et si le risque zéro n'existe pas, ces pirates de la route doivent être empêchés de nuire", conclut-elle.