Depuis la crise sanitaire, les caisses de ces infrastructures ne se remplissent plus.

"Nous avons peur de fermer notre club de basket". Ce sont les mots du trésorier du BEC Courcelles. Depuis un an, ce club sportif comme les autres de la région de Charleroi doivent survivent financièrement. En effet, les finances de ces infrastructures viennent en grande partie des buvettes, des soupers, des tournois et des stages. Mais avec les mesures prises par le gouvernement fédéral pour limiter la propagation du coronavirus, ces différents rendez-vous sportifs sont malheureusement interdits, au détriment des dirigeants de ces structures qui ont besoin de ce budget pour offrir du bon matériel à leurs sportifs. "La situation est très difficile à vivre. Nous avons dû rembourser les parents qui avaient déjà payé la cotisation."