Christian Jacquemin, tout d’abord, qu’est-ce que ça fait d’à nouveau fêter le 1er mai… comme d’habitude, dirais-je, alors que ça avait dû être annulé les deux dernières années, pour cause de Covid?
Ça fait du bien de retrouver les camarades de manière physique, de se rassembler avec des messages mais aussi une partie festive et interculturelle. Le parc Marie-Louise étant en travaux, ce sera cette fois dans la cour Fischer. Ce lieu est empreint d’une certaine émotion pour nous. Il est symbolique, avec le buste de Jean Roggeman, qui est le père des syndicalistes verviétois, comme certains disent, et, en bord de Vesdre, on ne peut pas ne pas penser aux inondations, aux familles endeuillées et aux familles toujours précarisées, qui ont des problèmes administratifs ou avec les assurances.
En tant que président de la FGTB verviétoise, vous prendrez la parole à la tribune, ce dimanche. Quelles sont