Cour d’assises : Tarzan n’aurait jamais touché un enfant répètent ses proches

La personnalité d’Antoine Marchal a été abordée, lundi devant la cour d’assises, au travers du témoignage de ses proches.

Sébastien Étienne
 Après une première semaine de procès consacrée à l’examen des faits, la personnalité d’Antoine Marchal a été abordée devant la cour d’assises lundi.
Après une première semaine de procès consacrée à l’examen des faits, la personnalité d’Antoine Marchal a été abordée devant la cour d’assises lundi. ©Eda – 60502364207 

À l’entame de la seconde semaine du procès du meurtre d’Antoine Marchal à Bomal, la cour d’assises du Luxembourg s’est penchée sur la personnalité de la victime, surnommée "Tarzan". Un homme, qui a multiplié les relations féminines, mais qui était largement apprécié, y compris de ses anciennes compagnes, comme l’ont souligné les témoins. "C’était quelqu’un qui rendait service à tout le monde", se souvient une ancienne relation. "S’il avait 50 € et que vous en aviez besoin, il vous le donnait", a témoigné l’une des sœurs de Tarzan. Antoine Marchal attirait aussi la sympathie des connaissances qu’il croisait à la Petite Batte à Bomal. "Il avait tendance à être trop serviable" dit de lui l’un des beaux-frères.

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