Depuis quelques jours, les témoignages se succèdent.

Les récits sont identiques du côté d’Attert, de Libramont, Bastogne, Bouillon ou Habay. Cela fait en effet plusieurs semaines que des animaux de compagnie, bien souvent des chiens, décèdent après avoir avalé une substance (NDLR : non encore identifiée à l’heure d’écrire ces lignes - mais on parle du Témik) qui se trouve généralement mise dans une barquette, mélangée à des restes de viandes ou de poulets. Ces récipients sont bien souvent laissés le long des chemins de campagne ou bord des champs, des routes. Quand le chien avale une bouchée… il est souvent trop tard.

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