Leur utilisation, par exemple lors de recherches, est bien réglementée.
Le conseil communal de Bernissart s’est penché sur l’autorisation pour les services de police d’utiliser sur le territoire de l’entité des bodycams, drones et hélicoptères.
En février 2019, le conseil avait autorisé à titre d’essai l’utilisation de bodycams par la zone de police Bernissart/Péruwelz et avait défini le type de caméras et les modes d’utilisation.
"Il y a quelques jours, le chef de corps a sollicité une autorisation définitive et étendue à d’autres matériels comme des caméras ANPR, des drones et des hélicoptères et à d’autres utilisateurs, par exemple les membres d’autres zones de police qui viendraient en renfort ainsi que les membres de la police fédérale", a expliqué le bourgmestre, Roger Vanderstraeten.
La conseillère d’opposition Anne-Marie Savini a souhaité savoir quelles étaient les limites de l’utilisation des drones par exemple. Le bourgmestre lui a signifié que les drones et les hélicoptères étaient utilisés évidemment dans un cadre spécifique de recherches.
La conseillère a demandé si cette utilisation provenait du fédéral. "Parce que nous n’avons pas au niveau local les moyens d’acquérir des hélicoptères."
La réponse du bourgmestre a surpris tout le monde.