Jean (prénom d’emprunt), 42 ans, comparaissait pour avoir soumis son fils, né en 2007, à des traitements dégradants. Les faits se passent du côté d’Enghien. La période infractionnelle s’étend de 2013 à 2021, ce que le prévenu conteste.
"Mon fils a perdu sa maman à sa naissance", explique-t-il. "Je me suis alors occupé seul de lui. Au Rwanda, mon pays d’origine, ce que j’ai fait est accepté. Il s’agit de fessées, de sanctions verbales aussi. On peut utiliser différents objets, le tout dans un but éducatif."